69-Alban

"Je suis Alban, une personne qui n'avait aucun problème de santé notoire avant l'arrivée de la période "Covid" et de la campagne de vaccination qui a suivi.

J'ai vécu comme bien de monde difficilement le second confinement et à peine arrivons nous début 2021 qu'un vaccin magique dit à ARN Messager (le terme est déjà disruptif !) va nous sauver si un reçoit les doses indiquées. A la fois, je souhaitais éviter d'attraper le Covid, mais en même temps, je ne comprenais pas comment était-il possible de concevoir un vaccin en si peu de temps alors que j'avais lu qu'il fallait environ 10 ans pour le mettre au point. Je trouvais tout ça bizarre.

La pression est montée d'un cran lorsque mon ancien médecin traitant m'a incité à le faire et me disant que c'était presque un devoir pour sauver ma santé. S'y est ajoutée l'arrivée du pass magique sans lequel vous ne pouvez pas passer du temps avec vos amis, votre famille, vous dépenser ou voyager en trains grandes lignes. De surcoîr, moi et ma compagne n'étions pas sous le même toit ni dans la même localité. Comment fait-on pour se voir chaque WE ensembles ? Trop loin en voiture, à pied ou en covoiturage.

Je répondrais aux antivax n'ayant pas de réflexion bien haute de savoir s'ils préfèrent d'enfuir seul dans la solitude ou suivre son partenaire. Quand on vous explique que pour garder son job, c'est piquouse et qu'en face vous avez une famille à nourrir et éventuellement un crédit immobilier à rembourser, que faites-vous ? Trouver un autre job, cela ne se fait pas "en traversant la rue"...

C'est finalement l'effet de masse entre ma famille et ma belle-famille que j'ai donc fait mon soit-disant "devoir" courant juin et juillet 2021. "Tout va bien se passer" disait les soignants au vaccinodrome. Je dirais juste que je suis reparti pas du tout rassuré. Je suis tombé peu de temps après sur les réseaux sociaux diffusant des images d'effets cutanés générés par ses soit-disantes potions magiques. J'ai par la suite été bien malade en novembre 2021, certes une rhinoipharyngite, mais qui a duré près d'un mois. Je trouvais çe étrange et mon certificat arrivant à expiration, je devais recevoir un rappel booster. Je ne comprenais pas ce changement de cap : dans un premier temps, on nous disait qu'avec 1 ou 2 doses, nous étions protégés en presque 100 % et maintenant, l'efficacité tant vantée ne ferait que réduire la gravité du covid. Qui croire ? Je suis allé tout de même au booster fin janvier 2022 dont je me serais bien passé car j'ai été mal 3 jour avec une douleur intense dans le bras. Normal m'était-il dit ! Et ce d'autant plus que le passe est suspendu mi-février 2022.

C'est peu de temps après la consultation de la pharmacovigilance, le début des témoignages et des constats autour de moi que je découvre la réalité de cette vaccination et de sa soit-disante efficacité. J'ai été choqué par le traitement médiatique que l'on a réservé aux non-vax soit disant responsables de l'épidémie persistante. Ces derniers ont simplement voulu faire un choix personnel que personne ne peut s'autoriser à remettr een cause. Je leur remercie d'avoir au moins appliqué leur conscience personnelle face au devoir médiatique. Ils ont quand même payé pour certains un lourd tribu : suspendus, interdits d'aller à certains endroits. Tout comme ceux qui pensaient à la sincérité véhiculée par une majorité médiatique.

L'illusion va voler définitivement en éclat mi-mai 2022 lorsque je me retrouve avec un écoulement nasal important mais sans congestion, le test PCR tombe : positif au Covid. Paradoxalement, c'est l'après qui sera le plus difficile à vivre. Après 2 semaines de reprise au boulot, je souffre de fatigue chronique, de raideurs importantes au bras droit et vers le site d'injection, des myalgies et arthralgies fortes, nausées, vomissements, sueurs froides, rhinite persistante. Je n'ai jamais été aussi malade pendant cette période.

A peine en capacité de tenir debout, j'ai donc dû m'arrêter de travailler 3 mois dans l'attente d'aller mieux. L'arrivé de l'été m'a permis de reprendre des forces et j'imaginais revivre comme avant après ce Covid. L'illusion va vite s'évaporer quand à la baisse des températures fin septembre, je rechute avec une fatigue très pesante et des douleurs chroniques persistantes. Je me suis alors mis à admettre que ma vie de Covid long avait commencé et qu'un tout autre monde se dessine pour moi.

J'ai donc sollicité le réseau AQODI qui avait mis en place un suivi de patients Covid long pour une durée de 3 ans maximum. Les personnes qui m'ont reçu m'ont tenu un discours rassurant sur la situation de leurs patients où les plus atteints se rétablissent globalement sur 3 ans. J'ai donc été exposé à une batterie de tests : ECG, EEG ne montrant rien d'anormal. Je me suis fait poser un Holter qui lui a révélé la présence d'extrasystoles auriculaires mais dont leur fréquence ne justifiait pas de traitements pas même de surveillance médicale. C'est ce qui expliquait le boom dans ma poitrine. J'étais malgré tout reconnaissant car mon médecin traitant n'était pas partant pour faire ces examens.

Malgré une évaluation et un suivi minime, je n'allais pas mieux avec l'apparition fin 2023 des douleurs intercostales et en haut du dos puis d'un crise d'urticaire localisée sur mes poignets. Je n'avais jamais eu de telles réactions cutanées. Et surtout, après en moyenne 2 semaines de boulot, j'étais obligé d'être arrêté une semaine face à une asthénie restant importante. Les médecins s'en tenaient au directives officielles : pas de traitement probant pour le covid long.

Ne voyant aucune amélioration début 2023, je me suis tourné en dehors du système médical où un médecin m'a aidé en me proposant plusieurs compléments alimentaires et essayer de réduire mes symptômes. C'est finalement la prise d'anti-oxydants qui va me permettre de commerncer à remonter la barre et de pouvoir reprendre le travail sans avoir d'arrêt périodique. Enfin, la consultation d'un interniste voyant ma peau rouge m'a suggéré des antihistaminiques si je ne supportais plus bien les démangeaisons. La prise de Cétirizine m'a permis de réduire les rougeurs, inflammations et réduire la rhinite chronique que j'avais depuis plus de 6 mois. En revanche, il trouvait le reste de mon état normal pour un Covid long ce qui me rendait perplexe.

C'est seulement à la fin de l'été 2023 que j'ai mis au point mon propre traitement qui m'a permis de réduire substanciellement mes douleurs chroniques. Malgré cette amélioration, cela ne m'a pas empêché de faire un rechute fin septembre 2023. J'avais l'impression d'avoir les musccles rouillés et j'avais de sensations de sueur froide de nouveau avec la sensation de pieds immobiles. Après un début d'atténuation, je suis arrivé à la période que j'ai le plus mal vécu, à savoir les complications liées aux troubles de l'audition. Deux semaines après la rechute, j'ai commencé à avoir des intolérances à certaines sons (numériques de smartphones, conversations trop bruyantes, frappes de clavier...) et développer des crises de myoclonies d'un oreille interne. J'en faisais en moyenne tous le 3 à 8 jours et qui duraient de 3 à 8 heures d'affilée. Je vous laisse imaginer entendre un claquement répétitif dans l'oreille. Le seul moyen que j'ai trouvé pour mieux le vivre a été de mettre un boule quies lors des crises. Puis deux semaines apèrs ces premiers troubles, un acouphène a commencé à appraître sur une oreille.

J'ai aussi comme,cé à avoir des fasciculations et spasmes dans tout mon corps, un EMG et un écho doppler n'ont rien donné.

Constatant trop de dégradations début 2024, je suis donc parti à Genève me faire soigner dans une petite structure médicale (et j'en ai eu pour mon argent !). La diagnostic tombe : mon organisme est en stress et mon sang analysé au travers d'une goutte coagulée montre des tache noires caractéristiques de parasites. Après une hydrothérapie du colon (lavage à l'eau) et l'apport d'antioxydants et de vitamines en perfusion, mon état s'était un peu amélioré et mon sang semblait bien plus propre après un nouveau prélèvement. J'ai également réalisé un frottis sanguin, mon médecin traitant ne voulant pas le faire et confirme une étrangeté : les lymphocyte sreaient "en forme stimulée" dont actifs alors que je n'étais pas malade ! Mon sang présentait donc des anomalies dont je ne sais si aujourd'hui cela a été résolu. La suite du traitement a été proposée en septembre 2024 jusqu'à décembre.

Après l'ozonothérapie et la chélation à l'EDTA, mon organisme se portait mieux : peau moins désséchée, fatigue atténuée et surtout, je n'avais plus de crise de myoclonie dans l'oreille interne comme avant (il reste quelques spasmes). En revanche, le traitement à l'ozone n'a pas permis de calmer la sysimmunité présente depuis le covid et a eu pour effet de légèrmenet aggraver mon acouphène. De son côté, la chélation à l'EDTA qui s'est bien passé au début provoquait ensuite des myalgies avec une inflammation de colon lors du denrier passage. J'ai donc dû arrêter le traiement par crainte d'hémorragies .

La dernier bilan dermonte à janvier 2025 où j'ai réalisé un réel bilan de mon audition aux HCL : l'intolérance à certains sons est confirmée malgré aucune perte d'audition mais aussi un acouphène jugé acceptable à une fréquence d'environ 16 kHz.

Du fait de tout ce que je vois, ma motivation au travail est au plus bas même si je peux encore travailler à plein temps et je me sens dégouté par cette société qui finalement ne voit pas ce qui se passe. Personne ne veut croire à l'effet désastreux possible de ces produits, pas même ma propre famille ! C'est pour cela que j'ai rejoint une association en 2024 de victimes de ces produits pour en parler.

Pendant tout ce temps, je recherche depuis plus de 2 ans ce que ces soit-disant vaccins contiennent au regard des données de la pharmacovigilance. Quand on doute de ce que contient un produit, on procède à des analyses chimiques et optiques au microscope. Ce que j'ai pu voir dépasse l'entendement ! Mais avec le recul, je ne suis pas surpris de voir ce qui se trame face à une caste mondialiste en plein délire.

A défaut de n'avoir pu empêcher ce désastre, j'ai au moins convaincu ma famille de ne plus recevoir ces produits quel qu'en soit le prétexte et je refuse toute nouvelle injection quel que soit le prix à payer et qui de toute façon me sera fatale si je tentais le diable...

Dans le monde d'aujourd'hui garni demain d'IA et de nanotechnologies, la vérité se trouve dans un microscope et pas ailleurs !"

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