Décédée à Saint-Georges-des-Coteaux (17)
Le 16 septembre 2023 à 58 ans
Témoignage de son mari :
« Elle a cédé à la pression, et aujourd’hui elle n’est plus là. »
Témoignage de Pierre L. suite au décès de son épouse.
Dans la maison désormais trop grande et silencieuse, le visage doux et souriant de N* a rejoint celui d’autres membres de sa famille sur l’autel des ancêtres. C’est là que Pierre a posé le cadre contenant sa photo, car il sait que sa vie se poursuit à présent auprès des siens, dans l’invisible.
« Moi, je n’ai peur de rien. Je n’ai pas peur de la mort, parce que je sais que la vie continue après », nous dit-il. C’est sans doute ce qui lui permet aujourd’hui de rester droit et digne. Et de nous raconter son histoire.
Au pied du mur
N* était infirmière psy à l’hôpital de S*.
En août 2021, sa profession tombant sous le coup de l’obligation vaccinale, sa hiérarchie a fait pression sur elle pour qu’elle se fasse « vacciner » contre le COVID. Méfiant dès le départ, Pierre lui a déconseillé d’accepter. Ils vivraient à deux sur sa retraite le temps nécessaire. Mais N* était très angoissée : « Si je refuse, je serai suspendue. Tu te rends compte, si je n’ai plus de salaire, comment on va faire ? » De plus, le discours officiel largement relayé par les médias et ses collègues de travail avaient réussi à la convaincre qu’il fallait se protéger et protéger les patients. Pierre a eu le sentiment de se heurter à un mur.
N* a donc reçu une première injection (Janssen) le 24 août 2021, puis une seconde (Pfizer) le 13 janvier 2022. Elle avait alors 56 ans et était en bonne santé. D’origine vietnamienne, elle s’alimentait de façon saine (la cuisine vietnamienne est connue pour être peu grasse, légère et diététique), et elle avait une bonne hygiène de vie, sans alcool ni tabac. Son seul problème de santé était un asthme chronique sévère qu’elle n’a pas manqué de signaler avant l’injection afin de prévenir une contrindication éventuelle. Mais les choses n’étaient pas très claires à ce sujet, et un médecin de l’hôpital l’a donc « vaccinée » sans lui avoir délivré au préalable une « information claire, loyale, appropriée et pérenne » concernant ce nouveau « vaccin ». La loi [1] l’obligeait pourtant à le faire, de même qu’elle oblige à recueillir le « consentement libre et éclairé » de tout patient acceptant de recevoir un médicament. Mais rares sont les vaccinateurs qui ont respecté cette obligation. Or, il est clair que, comme la plupart des gens à qui on l’a inoculé, N* ne savait rien de ce nouveau produit. Elle pensait qu’il s’agissait d’un « vaccin classique » un peu plus performant que les précédents, car à la pointe du progrès…
Deux ans après, tout bascule
En juin 2023, N* tombe brusquement malade. Elle éprouve une grande fatigue inexpliquée et souffre de troubles digestifs, nausées, puis vomissements et douleurs, accompagnés d’un jaunissement du blanc de l’œil qui la conduisent à consulter rapidement. Une analyse de sang met alors en évidence un ictère confirmé par un bilan hépatique et pancréatique alarmant.
Dans un premier temps, une opération permet la mise en place d’une prothèse au niveau du canal biliaire qui était obstrué (cause de l’ictère). Un scanner thoraco-abdomino-pelvien met en évidence la présence d’un nodule sur la tête du pancréas et une biopsie est effectuée. Le 11 juillet, le diagnostic tombe et tout s’effondre : adénocarcinome céphalo-isthmique du pancréas avec métastases hépatiques et surrénaliennes. Dans les semaines qui suivent, la chimiothérapie (6 cures entrecoupées de trois infections graves ayant nécessité de grosses doses d’antibiotiques) n’empêche pas une montée en flèche des marqueurs sanguins. L’état de N* ne cesse de s’aggraver, le foie se dégrade rapidement, le cancer « flambe » et rien ne peut l’arrêter.
« Turbo-cancer »
N* est décédée le 16 septembre 2023 à l’âge de 58 ans, « rongée à la fois par le cancer et par la chimio », après « deux mois et demi de souffrances ». Dès les premiers symptômes, Pierre a pensé à un possible effet indésirable en corrélation avec les deux injections. Il avait en effet eu connaissance de la multiplication de ces « turbo-cancers[2]» apparus dans différents pays depuis les campagnes de vaccination anti-COVID, constat que s’étaient empressés de nier une poignée de médecins aux ordres vouant aux gémonies les « complotistes » qui osaient faire de telles allégations [3].
Selon Pierre, vu l’état de complète décomposition de notre système, on constate un assujettissement de plus en plus grand des populations vis-à-vis de l’État, et des états eux-mêmes à Big Pharma. Aucun des médecins consultés n’a eu le courage d’évoquer la possibilité d’un lien entre les injections et la pathologie dont souffrait N*. Pour sa part, Pierre a choisi de ne pas en faire mention devant eux car il avait le sentiment que ce serait une perte de temps.
Un assassinat à grande échelle
Il reste toutefois persuadé que ce que contiennent ces prétendus vaccins « peut nous conduire à penser que les maladies ou les morts sont naturelles » alors qu’il s’agit « ni plus ni moins d’un assassinat à grande échelle ».
Il ajoute : « Comment expliquer un cancer aussi foudroyant ? Je suis désolé pour ceux qui n’y croient pas, moi je ne vois pas d’autre raison. (…) Le Dr Sherri Tenpenny [4] décrit précisément ce qui se passe dans le corps au moment où la protéine Spike est injectée. Elle explique comment nos anticorps naturels sont détruits. Sur ce sujet, la communauté scientifique, particulièrement en France, est complètement à la ramasse, incapable d’apporter des preuves de ce qu’elle avance et se réfugiant derrière l’Agence nationale du médicament, derrière l’agence européenne ou l’OMS. Le CSI s’est d’ailleurs constitué en réaction à cela : il est composé de gens qui, non seulement étaient contestataires, mais apportaient des preuves démontrant que le discours officiel était mensonger. »
L'opinion de Pierre concernant les objectifs de l’industrie pharmaceutique est que le profit figure en première place. Profit au nom duquel on ne cherche pas à soigner les gens, mais à les « maintenir malades, en survie, avec l’aval des médecins, de manière à leur administrer des molécules supplémentaires qui vont les détruire petit à petit, comme on l’a vu pour mon épouse : entre la chimio, les antibiotiques à haute dose et la morphine, c’était exactement ça. »
Par-delà le chagrin de la perte de son épouse, on sent surtout chez Pierre une immense colère. Mais l’homme n’en est pas à son premier combat. Il a décidé de se battre une fois de plus, parce qu’il est « inacceptable de traiter l’espèce humaine de cette façon ».
Voilà pourquoi il a souhaité témoigner, afin de donner à voir et à entendre cette vérité que trop de personnes cherchent à dissimuler, souvent très violemment.
D’autre part, il a entamé des démarches pour signaler à la pharmacovigilance les effets indésirables subis par son épouse, car il est pleinement conscient que ce signalement est un acte citoyen, qui peut bénéficier à tous. Par le passé, c’est grâce aux déclarations à la pharmacovigilance que des produits comme le Médiator, le Vioxx ou le Distilbène ont fini par être retirés du marché.
Enfin, Pierre se déclare prêt à déposer plainte et cherche une association susceptible de l'accompagner dans cette démarche[5], notamment à travers une action en justice qui regrouperait les plaintes de plusieurs victimes.
[5] Si vous faites partie d’un collectif ou d’une association susceptible de lui venir en aide, merci d’envoyer un mail à : necmergitur17@framalistes.org